Dashmood, le logiciel QVT qui prend le pouls de votre équipe, chaque semaine
Et si le bien-être au travail se mesurait en moins d’une minute par semaine ? C’est le pari relevé par Dashmood, un logiciel QVT troyen pensé pour améliorer concrètement le bien-être au travail. Derrière ce nom malin, contraction de “dashboard” (tableau de bord) et de “mood” (humeur), se cache un logiciel innovant qui transforme la façon dont les entreprises écoutent leurs collaborateurs.
Une idée née d’une conviction : la QVT doit être suivie en continu
Fondateur de Dashmood, Robin Parisi connaît bien les enjeux du travail en équipe. Directeur technique d’une agence web qu’il a cofondée en 2013, il a lui-même expérimenté les limites des dispositifs classiques de QVT. “Mesurer le bien-être ponctuellement ne suffit pas, les problèmes sont souvent oubliés ou révélés trop tard”, observe-t-il.
C’est ce constat qui l’a poussé à imaginer un outil simple, régulier et accessible. Chaque vendredi, les collaborateurs reçoivent un questionnaire composé de 7 questions. En une minute, ils partagent leur ressenti sur leur environnement, leur charge de travail, leurs relations avec l’équipe, avec les externes ou encore leur productivité. En début de semaine, les managers (qui peuvent aussi être des DRH ou des dirigeants – c’est juste le terme employé dans l’outil) reçoivent un mail synthétique qui offre une “météo” de leur équipe : les signaux faibles sont identifiés, les tendances deviennent visibles.
Parmi les autres fonctions plébiscitées, la boîte à idées permet aux collaborateurs de soumettre des suggestions en toute simplicité. Chacun peut voter pour les propositions les plus pertinentes, et les managers gardent une trace centralisée des propositions venues de leurs équipes. Une manière concrète de nourrir l’intelligence collective sans lourdeur organisationnelle
Un positionnement qui séduit
Startups, TPE, PME (et même une collectivité!) ont été les premières à adopter cette solution. Aujourd’hui, l’outil progresse au rythme de deux nouveaux clients par mois. Les retours sont enthousiastes : les utilisateurs apprécient la rapidité du feedback et les managers louent la clarté du récapitulatif hebdomadaire.
Avec une tarification transparente (4€/mois/utilisateur ou 3€/mois/utilisateur à l’année), un essai gratuit de 30 jours et une mise en place simplifiée, Dashmood séduit aussi par sa facilité d’usage. Un choix assumé : ici, pas d’outil « usine à gaz », mais une interface claire et des fonctionnalités ciblées.
Un projet mené en solo et une feuille de route bien tracée
Développé intégralement par Robin en parallèle de son activité principale, Dashmood est un projet autofinancé. Pendant un an, il a consacré en moyenne huit heures par semaine à concevoir, coder, tester et mettre en conformité RGPD son outil. Une première version a été expérimentée dans deux entreprises durant un an, dont la sienne, avant d’être commercialisée fin 2024.
Dashmood ne compte pas s’arrêter là. En 2026, Robin se consacrera à plein temps à son logiciel. L’ouverture à l’international est prévue pour septembre 2026, et plusieurs nouveautés sont en cours de développement.
Parmi elles, de nouvelles ressources gratuites pour dirigeant(e)s et DRH, à l’instar du modèle gratuit de questionnaire QVT déjà disponible. L’intelligence artificielle s’invitera également dans l’outil, avec prudence et transparence. Objectif : proposer aux managers une analyse personnalisée de l’évolution du bien-être des salariés, voire des prédictions de risques de départ. Une technologie au service de l’humain, et non l’inverse.
Côté cybersécurité et numérique responsable : des engagements concrets
Conçu et hébergé en France, Dashmood a intégré la protection des données dès sa conception, selon le principe du « Privacy by Design ». L’outil a par ailleurs été pensé dès le départ pour limiter son impact environnemental : son interface légère atteint 100% de performance sur Page Speed Insights de Google en version desktop, et 79% sur mobile. Des scores rares qui témoignent d’un numérique responsable et performant. Enfin, le développement de l’outil a lui aussi intégré les avancées numériques grâce à une aide au développement avec cursor.ai.
Pour Robin, le numérique ne doit pas être une fin en soi, mais un levier. Il encourage les dirigeant(e)s et DRH à automatiser la collecte des feedbacks pour mieux se concentrer sur l’essentiel : l’écoute active des équipes et la mise en place d’un quotidien de travail plus harmonieux 🙂